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  • : A FLEUR DE VIE
  • : Développement des capacités d’adaptation et du potentiel de réalisation auprès des personnes Traumatisées crâniennes et cérébro-lésées.
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Graines de vie

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TRAUMA CRÂNIEN ET AVC

A FLEUR DE VIE

accompagne ma réflexion sur la capacité de l'homme à se transformer et à s'adapter et souligne ma volonté de prouver que chaque personne handicapée peut mobiliser ses aptitudes et développer ses capacités.

8 décembre 2006 5 08 /12 /décembre /2006 10:03

 

Quiconque croit en la démocratie n'accepte jamais de se soumettre au principe d'inéluctabilité.

Ce principe n'est jamais qu'une parodie sinistre du "réalisme"

NON

La "fatalité", ce n'est pas la dureté envers les pauvres,

le "destin" n'est pas réservé aux perdants,

le résultat "inévitable" n'est pas l'injustice généralisée.

En un mot, le vrai réaliste n'est pas celui qui se soumet, c'est bien au contraire, celui qu'habite encore le projet de changer le monde.

Quels sont les candidats à l'élection du président de la république qui ont le projet de changer le monde ?

Qu'en penses-tu Stella ?

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4 décembre 2006 1 04 /12 /décembre /2006 11:17

 

La responsabilité universelle nous conduit en outre à adhérer au principe d'honnêteté.

Ce que j'entends par là ?

On peut considérer que l'honnêteté définit la nature du lien entre les apparences et la réalité.

Parfois elles coïncident, souvent non. Lorsqu'elles coïncident, on peut parler d'honnêteté, du moins telle que je la comprends.

Aussi, nous sommes honnêtes lorsque nos actes sont ce qu'ils paraissent.

Dalaï-Lama

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1 décembre 2006 5 01 /12 /décembre /2006 08:28

 

Selon certains sages, il y aurait au fond de chacun d'entre nous comme un lac paisible où, si nous le voulons, nous pouvons accéder à la sérénité.

Le chemin vers le lac demande de l'entraînement et de la constance.Il s'agit d'apprendre à laisser derrière soi les mille et une petites et grandes fureurs du quotidien.

Au bout se trouve la récompense.

Une musique émouvante, une rencontre, la phrase juste d'un livre, vous fait frissonner. La sensation éprouvée est parfois si forte que vous avez  la chair de poule.

 

Et si le bonheur n'était que cela, tout cela. Un grand écart entre notre condition d'homme et l'éternel ?

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27 novembre 2006 1 27 /11 /novembre /2006 09:39

 

 

 

 

 

 

L'histoire que tu vis, celle de chaque jour, est simple, donc incompréhensible. Aucun livre n'en fait mention, aucune lanterne de papier ne l'éclaire.

Regarde.

L'essentiel est dans ce que tu oublies et qui se tient devant toi.C'est par l'infime que tu trouveras l'infini, par ce calme regard sur l'ombre bleue, peinte sur une tasse de porcelaine blanche.

L'âme, sans doute, est imprégnée de cette couleur, ainsi que de lambeaux de vieux français et de chants anonymes, éternels comme l'aurore, celle qui chaque jour se lève.

 

Christian Bobin. Le colporteur

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20 novembre 2006 1 20 /11 /novembre /2006 09:16

 

J'ai reçu samedi une invitation pour participer à une journée d'étude le 2 décembre à Paris intitulée "souffrances".

Cette journée est organisée en hommage à Armand TOUATI.

 J'ai tout d'un coup compris que mon vieux camarade n'était plus de ce monde.

Avec Armand, nous avons refait le monde lorsque nous étions étudiant en psychologie à Aix en Provence. Puis nous avons rêvé de changer la profession de psychologue lorsque, en 1978, nous avons été élus à la direction du Syndicat National des Psychologues.

Armand TOUATI était un homme engagé dans son temps, bouillonnant d'idées, d'envies; philosophe, psychologue, psychothérapeute, mais aussi musicien et écrivain, il avait un appétit de la vie insatiable.

En 1982, il crée le journal des psychologues, puis les éditions Hommes et Perspectives qui vont publier des dizaines d'ouvrages sous sa direction.
Il crée et dirige par la suite la revue Cultures en mouvements qui deviendra Sciences de l'Homme et Société.

En mai 1988, dans son livre "Les temps de la vie" qui reprend les interventions du 5 ème Forum de la profession, il note :

"qu'est ce que vivre si ce n'est naître, grandir, se construire ? A chaque moment essentiel, des changements impliquent des réaménagements, des évolutions qui peuvent faire de chaque étape une crise...Comment à la fin de notre vie, notre regard sur nos actes s'inscrit-il dans une dynamique psychique unique ?" Et plus loin "Le fleuve et la roue sont les deux symboles qui viennent quand nous évoquons les temps de la vie. D'une part la linéarité, l'irréversibilité, le temps qui passe et qu'on ne rattrape jamais, d'autre part l'éternel retour, la réversibilité. Un espace qui s'inscrit entre la naissance et la mort traversé par des cycles et des rythmes."

... AU REVOIR L'ARTISTE

 

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14 novembre 2006 2 14 /11 /novembre /2006 10:27

 

Supposez que dans la pénombre, alors que vous marchiez sur le chemin, vous aperceviez un gros morceau de corde roulé par terre et que vous le preniez pour un serpent.

Ce serpent n'a pas d'existence réelle en tant que serpent, il n'est qu'une apparence fausse assumée à vos yeux par une corde. Mais il a une réalité d'ordre phénoménal et pragmatique; subjectivement vous le trouvez vrai. Et cela au point qu'il vous fait reculer d'effroi, que votre coeur se met à battre plus rapidement et que, si vous avez des troubles cardiaques, vous pouvez même en mourir.

Et malgré cela c'est toujours une corde inoffensive; il suffit que vous voyiez sa nature réelle, que vous perdiez à son sujet l'illusion qui existe uniquement dans votre esprit, pour qu'à vos yeux le serpent disparaisse à jamais, ce serpent qui en réalité n'a jamais existé.

Mais en fait vous ne pouvez jamais voir à la fois la corde et le serpent : la vision de l'un exclut forcément la vision de l'autre. Et c'est en étudiant le serpent qu'on arrivera à le faire disparaître et à voir la corde.

Cette comparaison de la corde et du serpent est classique en Inde. Elle signifie qu'il faut regarder en face ce dont on a peur afin d'y reconnaître la part de nos projections et de nos désirs refoulés.

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7 novembre 2006 2 07 /11 /novembre /2006 12:50

 

N'ayez pas peur d'avoir peur

Si se connaître soi-même est le remède de toute vanité, il est aussi celui de toute peur. Découvrir que nous ne sommes rien, c'est découvrir dans le même mouvement que rien ne peut nous faire peur ou nous faire mal. Nous n'avons que des illusions à perdre, c'est à dire de fausses images de nous-mêmes; nous ne pouvons pas perdre la réalité.

Ainsi la connaissance de soi délivre de la peur parce qu'elle nous délivre du "moi" qui a peur, et nous laisse en présence de ce qui nous dépasse et qui est pour les croyants la connaissance de Dieu.

C'est le commencement de la sagesse que de ne pas oublier ce que l'on est et d'avoir les yeux fixés sur les éléments dont on est composé

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24 octobre 2006 2 24 /10 /octobre /2006 09:13

 

  La porte de l'éternité

Texte écrit par Georges HOURDIN, pour ces cent ans, quelques mois avant de disparaître (janvier 1999).

"Dieu existe-t-il ? Est-il tout puissant et bon? Pourquoi ne répond-il pas toujours à l'amour ? Pourquoi nos enfants, nos époux meurent-ils avant l'âge ? Pourquoi les tenons-nous alors, glacés entre nos bras tremblants ?

Trouverons-nous, innombrables, une fois les portes de la mort franchies, une vie nouvelle, traissaillante d'allègre béatitude ? La vie conduit-elle quelque part ? a-t-elle un sens ? Et si ce sens existe, si des réponses crédibles ont été données aux questions qui se posent, innombrables à nous, où les trouve-t-on ? Qui les a prononcées avec autorité ? Quel héros, quel prophète ou quel saint ? Un Dieu peut-être...

"Je suis à la fin de ma vie. J'ai l'impression d'être sur des rivages d'où l'on aperçoit, sur l'autre bord, la porte étroite, auréolée de lumière, de l'éternité. Je crois connaître ces réponses. Je sais que leur sagesse, leur mise en pratique peuvent nous rendre libres. Elles sont la clef. Elles ouvrent la porte. Elles sont capables non seulement de nous sauver mais encore de sauver ceux que nous aimons et sans lesquels nous ne pouvons pas vivre."

Georges Hourdin était journaliste et écrivain. Il débute dans le journalisme en travaillant pour le périodique Sept et les hebdomadaires Temps Présent et La vie Catholique qui se situent dans la mouvance des pères Dominicains.

Au sortir de la deuxième guerre mondiale, il crée La Vie Catholique Illustrée, devenu l'hebdomadaire La Vie, le périodique Informations Catholiques Internationales et le magazine Télérama. Il a écrit 23 ouvrages, notamment "le vieil homme et l'église" et "le vieil homme et la vie".

 

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10 octobre 2006 2 10 /10 /octobre /2006 10:10

secrets_du_bonheur.jpg

 

"Voilà donc le bonheur !...

Vous pouvez avaler sans crainte ;

on n'en meurt pas."

Charles Baudelaire

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6 octobre 2006 5 06 /10 /octobre /2006 10:54

Un jour, quelqu'un vint voir Socrate et lui dit :

- Ecoute, Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit.

- Arrête ! interrompit l'homme sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis ?

- Trois tamis ? dit l'autre rempli d'étonnement.

- Oui, mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu as à me dire peut passer par les trois tamis.

Le premier est celui de la vérité. As tu contrôlé si tout ce que tu veux me raconter est vrai ?

- Non, je l'ai entendu raconter et...

- Bien, bien. Mais assurément tu l'as fait passer à travers du deuxième tamis. C'est celui de la bonté. Ce que tu veux me raconter, si ce n'est pas tout à fait vrai, est-ce au moins quelque chose de bon?

Hésitant, l'autre répondit :

Non, ce n'est pas quelque chose de bon, au contraire...

- Hum ! dit le sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s'il est utile de me raconter ce que tu as envie de me dire...

- Utile ? Pas précisément...

-Et bien ! dit Socrate en souriant, si ce que tu as à me dire n'est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l'oublier.

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